Depuis la naissance de l’Univers, le rayonnement fossile cosmologique s’est refroidi à une température moyenne de 2,725 kelvins, soit -270°C. Ce que mesurent les instruments du satellite Planck, ce sont les variations minuscules autour de cette température moyenne, en fonction de la direction d’observation. Ces anisotropies révèlent l’empreinte des fluctuations quantiques primordiales qui déclenchèrent la croissance des grandes structures de l'Univers.
Comment les astrophysiciens interprètent les résultats ? Quelles sont les questions nouvelles qui en émergent ?
Avec François R. Bouchet, chercheur à l’Institut d’astrophysique de Paris, CNRS et Sorbonne Université-UPMC.
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